Droits des salariés
Le 04/11/2024
A la une
L'action fondée sur la dénonciation d'un harcèlement moral se prescrit par cinq ans
Qu'est-ce qui détermine le délai de prescription applicable lorsque l'action du salarié a pour fondement la dénonciation de faits de harcèlement, mais que la lettre de licenciement porte sur un tout autre motif ? Le fondement de l'action ? Ou les motifs de la lettre de licenciement ?
Le 31/10/2024
A la une
La preuve de la discrimination à l'épreuve du RGPD
Si la communication de bulletins de paie d'autres salariés pour établir une discrimination syndicale est conforme au règlement général sur la protection des données (RGPD), le juge doit néanmoins veiller que cette pratique respecte le principe de minimisation des données, en ordonnant l'occultation des mentions non indispensables et en en limitant l'utilisation à l'action en cause.
Le 31/10/2024
A la une (brève)
Le Smic augmenté de 2 % à compter du 1er novembre : le Boss met à jour les rubriques impactées
Le 31/10/2024
A la une (brève)
[Veille JO] Les textes parus cette semaine : assurance chômage, CESE, fonction publique, nominations, santé
Le 30/10/2024
Mouvements
Julie Leroy nommée conseillère travail, emploi et formation professionnelle de Michel Barnier
Le 30/10/2024
A la une (brève)
L'Igas préconise d'assouplir le CDI intérimaire plutôt que de pérenniser le CDI d'employabilité
Le 29/10/2024
A la une
Action en justice en faveur d'intérimaires : le syndicat doit les en informer, au plus tard, à l'introduction de l'instance
Le syndicat projetant une action en justice en faveur d'intérimaires doit en avoir averti chaque intérimaire concerné par LRAR, adressée au plus tard le jour de l'introduction de l'instance, indiquant la nature et l'objet de l'action et reprenant les mentions énumérées à l'article D. 1251-32 du Code du travail. A défaut, son action est irrecevable.
Le 29/10/2024
A la une (brève)
Déclaration sociale nominative : les premiers CRM de rappel seront envoyés en mars 2025
Le 28/10/2024
A la une
AT/MP avant 2024 : les longues périodes de suspension du contrat ouvrent droit à congés payés
Les périodes de suspension du contrat de travail pour accident de travail ou maladie professionnelle (AT/MP) au-delà d’un an, antérieures à la loi du 22 avril 2024, ouvrent droit à congés payés, car les dispositions du code du travail contraires au droit de l’UE, même jugées constitutionnelles, doivent être écartées.